"Bande de fiottes, vous êtes dans l'armée maintenant ! Tu regardes quoi toi, avec ta sale gueule de guerrier !? On est dans la merde et tu rigoles ? Notre Président est retenu en otage par un groupuscule révolutionnaire… Tu veux y aller !?".
Enfin ! Ils l'ont ! Un an après avoir bavé devant le premier épisode sur Super NES, après avoir prié jours et nuits que le messie leur vienne en aide, après avoir envoyé d'innombrables lettres d'insultes chez Capcom… Les possesseurs de Megadrive ont leur Street Fighter II !
Un très bon cru made in LucasArts que voilà ! Comme quoi le Dieu du point & click sait également nous réserver deux ou trois belles surprises sur consoles. Zombies (Zombies Ate my Neighbors dans sa version éponyme) est un hit & run assez original de par son contexte.
Indéniablement le meilleur épisode de la saga Street Fighter II, l'arrivée de Super Street Fighter II sur nos petites 16 bits de salon était plus que prévisible. J'avais d'ailleurs mentionné, lors de la chronique de Street Fighter II Turbo/Street Fighter II', mon dégoût envers Capcom pour nous avoir fait le coup de la cartouche payée plein pot et déjà obsolète alors que le prochain opus était déjà sorti dans les salles d'arcade (les screens publiés dans nos chers magazines d’époque parlant d’eux-mêmes) !
Indéniablement une des plus grandes stars du genre plates-formes des années 90, notre petite chauve-souris acrobate nous revient en grande forme pour cette fin d'année 94 ! Après le succès planétaire du premier opus, il était en effet fort logique que nos amis américains/anglais de chez Iguana Entertainment (sous la houlette de Sunsoft) remettent le couver !
On a beau dire tout ce qu'on veut sur la Megadrive, le constat est là : elle en a autant dans le bide que la Super NES ! Et heureusement que des petits gars comme les développeurs de Konami sont là pour clouer le bec aux pros N !
Dieu que cette fin d'année 1994 fut explosive pour la petite 16bits de Sega ! Juste après un Probotector qui nous en mettait déjà plein la bouche, nous arrive ce Mega Turrican du studio allemand Factor 5 !
Avant de "tuer Batman" dans Batman & Robin, George Clooney était précédé par Val Kilmer mais surtout dirigé par le "gay-pridé" Joel Schumacher, successeur de Tim Burton pour les adaptations du chevalier noir au cinéma.
Nous sommes en Septembre 1995, Sega a déjà mis sa Saturn dans les bacs et le mastodonte PlayStation ne va pas tarder à pointer le bout de sa trompe. Parmi les quelques développeurs qui continueront à penser aux possesseurs de 16bits, ceux même qui n'auront pas forcément 500 € à claquer de suite pour remplacer leur console salon, il y a… Sega justement !
Depuis la nuit des temps, la saga des Thunder Force peut se targuer d'être le sujet de nombreux débats sans merci sur les forums retrogaming. Pourquoi ? Parce qu'à partir du troisième opus dont nous parlons actuellement, cette série de shmups made in Technosoft n'a cessé d'évoluer dans le bon sens. Elle a surtout chamboulé un genre à part, un genre qui était jusqu'ici surtout pratiqué au pays du soleil levant.
Considéré à tord comme la suite de Landstalker sur Megadrive, Dark Savior n'en reste pas moins le seul jeu sur Saturn développé par Climax et quel jeu ! Certainement l'un des rares oiseaux dans son genre sur la 32 bits de Sega, le jeu se présente, comme son ainé, en 3D isométrique certes mais le tout en temps réel. D'ailleurs, on peut balader la caméra à loisir autour de son personnage qui lui est en 2D.
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